Qui sommes-nous?

La Fondation Paroles de femmes est un organisme sans but lucratif, qui a pour mission la création d’espaces inclusifs où les femmes racisées et autochtones peuvent partager leurs expériences et perspectives diverses. Ces espaces prennent la forme d’activités et de conférences portant sur les différents enjeux d’actualité qui concernent les femmes racisées et autochtones.

Cette grande diversité des voix est souvent sous-représentée et parfois réduite au silence. Fondation Parole de Femmes veut ainsi contribuer à l’empowerment des femmes en créant des moments qui libèrent la parole, la portent plus loin et permettent aux femmes de renouer avec leur force, leur leadership et leur pouvoir.

Le Conseil d’administration

Dalila Awada est étudiante à la Maîtrise en sociologie (UQAM). Elle intervient principalement sur les questions liées aux droits des femmes, au racisme et à l’islamophobie. Elle est blogueuse au magazine VOIR, conférencière, militante antiraciste et féministe.

Selma Tannouche Bennani est titulaire d’un doctorat en gérontologie sociale de l’Université de Sherbrooke. Après une carrière de journaliste au Maroc, elle s’est intéressée, depuis son arrivée au Québec en 2013, aux questions entourant le vieillissement des Québécois.e.s issu.e.s de l’immigration, ainsi qu’aux répercussions du racisme et de l’islamophobie sur la vie des personnes racisées. L’écriture ayant renforcé son empowerment, elle souhaite mettre sur pied des ateliers d’écriture destinés principalement aux femmes racisées.

Alia Hassan-Cournol est candidate à la Maitrise en Études Internationales et travaille sur les actions collectives des diasporas tunisienne et égyptienne à Montréal au moment des bouleversements politiques de ces pays respectifs en 2011. Alia a milité dans des mouvements contre le racisme et l’islamophobie.

Idil Issa a travaillé avec des organismes à but non lucratif au Qatar, en Malaisie, en Afrique du Sud et au Canada. De plus, elle écrit fréquemment pour des médias comme The Globe and Mail, Esquire Malaysia, COLORS Magazine et Maisonneuve Magazine. Les sujets qu’elle aborde touchent les questions de race, de religion et de genre. Elle participe également à différentes chaînes télévisées comme CBC et CTV pour défendre les droits des populations marginalisées et opprimées, en mettant l’emphase sur les expériences des femmes musulmanes, et plus précisément les femmes musulmanes racisées.

Elvira Kamara a étudié en traduction, littératures de langue française et littérature comparée. Aspirante écrivain et bloggeuse depuis une dizaine d’années, elle s’intéresse aux questions identitaires dans un contexte d’immigration et d’expatriation, à l’écriture comme objet de réappropriation du récit de soi, aux relations hommes-femmes et à la place de la femme noire dans la société occidentale.

Andréanne Pâquet est Directrice, Mobilisation et Impact chez Amnistie Internationale Canada francophone. Elle travaille depuis plus de 15 ans sur les questions de racisme, d’islamophobie et de dialogue interculturel et interreligieux. Pendant neuf ans, elle a oeuvré à ENSEMBLE pour le respect de la diversité, obnl spécialisé en mobilisation et en sensibilisation des jeunes sur la diversité sous toutes ses formes. En 2010, elle initiait Ce qui nous voile, projet visant à déconstruire par l’image les idées préconçues sur le voile musulman et les femmes qui le portent. Le projet est présentement exposé au Musée canadien pour les droits de la personne. Au cours des dernières années, elle a travaillé dans les secteurs philanthropique, d’économie sociale et du mouvement coopératif. Anthropologue de formation, elle est Fellow de l’Institut Broadbent et de l’Ariane de Rothschild Fellowship en leadership interculturel et entrepreneuriat social. Elle est co-fondatrice de la Fondation Paroles de Femmes.

Cathy Wong est diplômée en droit et agente de développement jeunesse pour les YMCA du Québec. Féministe, elle est actuellement présidente du Conseil des Montréalaises et s’intéresse surtout aux questions en lien avec les femmes issues de l’immigration, leur accès aux services, ainsi que leur place dans les instances décisionnelles. Amoureuse de Montréal et passionnée par l’engagement social, elle a présidé le Forum jeunesse de l’Île de Montréal et le Jeune conseil de Montréal. Elle tient également une chronique dans le journal Le Devoir.

Détentrice d’un diplôme de maîtrise en Hautes Etudes Commerciales et d’un Diplôme d’Etudes Approfondies (DEA) en Marketing culturel, Amel Zaazaa est une professionnelle de la communication, des relations publiques et de l’organisation communautaire.

Elle a travaillé près de dix ans dans la coopération culturelle et artistique ainsi que sur des projets de la société civile entre la France et la Tunisie. Militante féministe et antiraciste, elle est installée à Montréal depuis 2014. Elle oeuvre en tant qu’organisatrice communautaire au sein du collectif Hoodstock, un collectif qui milite contre les brutalités policières et qui organise chaque année le forum social de Montréal Nord. Actuellement, elle occupe le poste de conseillère en stratégie politique et communication pour le Réseau Québecois de l’Action Communautaire Autonome (RQ-ACA).